Barcelone
Commençons notre chemin catalan en identifiant les pistes de libération, parcours par Antoni Gaudi.
L’objectif est de vous convaincre que cette étape parfois difficile à affronter vous amènera à vous (re)connecter avec votre véritable authenticité. Se sentir en harmonie avec ses propres aspirations profondes est l’une des sources principales de sérénité.
Et de quoi donc Gaudi devait-il se libérer ? Et bien des « super-structures » !
Un néologisme Semafilo qui demande explication, je vous l’accorde !
L’architecture s’apprend comme toute chose afin que les édifices aient des fondements solides, qu’ils soient fonctionnels à ce pourquoi on les destine, qu’ils se maintiennent dans le temps. C’est le fond, qui reste indispensable à toute création.
Ensuite viennent le style, la décoration, le design qui changent au gré des modes, des auteurs, des géographies. C’est la forme des super-structures donc !
Alors que les bases, les origines restent, c’est ce « super- flu » qu’il faut laisser aller
Pour faire émerger cette nouvelle authenticité.
Les réflexions mais aussi le talent créateur de Gaudi l’ont ramené au postulat de base du lien indicible entre nature et architecture. C’est le fil conducteur de toutes les œuvres qu’il développera à partir de son premier grand chantier : Casa Vincens dans le quartier Gracia.
Moins fréquentées par la masse touristique que Casa Batllò ou la Pedrera, cette maison bourgeoise réunit déjà tous les éléments de sa philosophie : transposer dans la forme architecturale la Sagesse de la nature.
Pour Semafilo, une étape incontournable de votre prochain périple à Barcelone
Visitez cette villa bourgeoise en gardant à l’esprit ce travail de libération du superflu pour trouver votre véritable authenticité du moment présent .